TFS4-2009
quartier, amoureux, vraiment, faire du mal, séjour, s’ennuyer, à table, souhaiter, tranquille, se tromper
La vie
La vie est un voyage, on y avance pas à pas. Et si chaque pas est merveilleux, si chaque pas est magique, la vie entière le sera aussi. V ous ne serez alors point de ceux qui arrivent au seuil de l’autre monde sans avoir vraiment vécu. Ne laissez pas votre vie en friche, mais faites qu’elle devienne une mélodie pour vous et pour autrui !
Puisque la vie est un séjour éphémère sur la terre, vivez sans tarder : sensations, passions, désirs, rencontres, amours... Ne négligez rien de tout cela. Un jour, vous découvrirez combien cela est grand et irremplaçable ! Chaque jour, apprenez quelque chose de nouveau sur vous-même et sur les autres. Chaque jour, essayez de voir le monde en rose et de faire grâce à ceux qui vous ont fait du mal.
Comme tout le monde le sait, la vie est parfois étrange avec son lot de surprises et d’imprévus. Alors, quand les moments difficiles viendront, ne vous e nnuyez pas. Reposez-vous dans un quartier tranquille, mais ne vous abandonnez pas. Surtout, ne vous trompez pas en vous laissant convaincre du contraire.
En fin de compte, je souhaite que chacun tienne à sa vie et réalise son rêve.
TFS4-2008
lettre, téléphone, carte, famille, partager, confiance, communication, solitude, sourire, cadeau
Remède à la solitude des jeunes
L’époque est révolue où l’on s’écrivait des lettres et des cartes de vœux à l’occasion d’une fête. On préfère aujourd’hui se téléphoner, s’envoyer des SMS. On dit que c’est pratique et qu’il faut vivre avec son temps.
Certes, avec les progrès prodigieux de la technologie, tout devient facile : un message ou un coup de téléphone, un e-mail... c’est à la fois rapide et commode. Mais cela ne veut pas dire qu’on peut se passer de la communication interpersonnelle. Aujourd’hui, pris d’engouement pour tous ces moyens de communication modernes, beaucoup de jeunes ne partagent plus leurs secrets avec leurs parents, n’ont plus confiance en leurs amis, mais se confient plutôt à des inconnus « connus » sur Internet. Donc, il est normal qu’ils sentent souvent la solitude.
Pas de remède ? Mais si. Pour commencer, écrivons à la plume une lettre affectueuse à nos parents et à nos amis. Et puis, profitons bien d’un petit moment, par exemple de leur anniversaire, pour leur offrir un cadeau que nous faisons par nous-même. Nous verrons leur visage s’épanouir en sourire, et nous nous rendrons bien compte que la solitude, enracinée depuis si longtemps dans notre cœur, sera remplacée par une énorme douceur.
TFS4-2007
se souvenir, excursion, autocar, métro, prendre, campagne, nature, se promener, pique-nique, guitare
Ma première excursion
Je me souviens souvent de ma première excursion que j’ai faite avec mon oncle,
laquelle est l’un de mes meilleurs souvenirs d’enfance.
C’était un beau matin du printemps. Mon oncle et moi, nous sommes partis de la maison pour faire un tour du lac. Nous n’avons pris ni autocar ni métro, mais nous y sommes allés à vélo, car nous préférions respirer l’air frais de la campagne et écouter les chants d’oiseaux. En chemin, mon oncle m’a raconté des histoires sur des animaux sauvages et les aventures de sa jeunesse. Elles me plaisaient beaucoup. Nous nous sommes promenés au bord du lac et nous avons bavardé avec les pêcheurs. À vrai dire, il chantait mal, mais j’aimais ses chansons et quand je voyais le paysage pittoresque devant nous, je me sentais heureuse. En fin d’après-midi, nous sommes rentrés chez nous avec des fleurs qu’un villageois nous avait permis de cueillir dans son jardin.
V oilà ma première excursion. Elle n’est pas extraordinaire, mais chaque fois que je m’en souviens, je me sens bien émue et je pense à mon enfance perdue.
Autres :
Je pense souvent à la troisième année au lycée, c'était une vie dure mais très belle. On menait une existence monotone: on se levait à 6 heures et demie, se livrait au travail à sept heures, restait à l'école jusqu'à 21 heures et se couchait à 23 heures, épuisé. Je travaillais sans désemparer et tentais toujours de finir tous les exercices qui me tombaient sous la main. De plus, je ne pouvais demander du secours à personne, y compris mes parents parce que je ne voulais pas les inquiéter. Quand j'échouais aux examens, je ne m'en prenais qu'à moi-même au lieu de trouver des excuses.
Outre les difficultés, heureusement, on avait de belles mémoires. Travailler avec mes chers camarades me soulageait beaucoup. Nous nous encouragions, nous nous aidions, et bien sûr, nous nous plaignions ensemble des défauts de ce système éducatif, tout le
temps!
Le dernier jour arrivant, le 9 juin 2009, les parents attendaient nerveusement notre sortie devant l'école ou à la maison. J'ai vu quelques-uns de mes camarades éclater en sanglots ou de rire, mais moi, j'étais tellement calme.
Depuis deux cent cinquante ans, l’humanité a connu un développement technologique fantastique, un développement tellement considérable que, pour ainsi dire, il dépasse celui de tous les siècles précédents.
La première révolut ion industrielle a annoncé le début d’une réforme de production systématique, libérant les hommes des travaux physiques/manuels épuisants et monotones, leur permettant de se lancer dans des domaines créatif et ambitieux. Donc on voit l’invention de fusée e t le lancement de vaisseaux spatiaux, ce à quoi les gens du passé ne pouvaient jamais penser.
Les chaînes de montage ont considérablement haussé la productivité et en même temps baissé le coût de production, la mise en service de différents moyens de transport a beaucoup facilité les échanges commerciaux. On en profite beaucoup car on achète ce qu’on veut n’importe où.
La technologie a aussi profondément modifié le mode de vie. D’abord, on jouit d’une espérance de vie plus longue qu’avant. Les médicaments et les vaccins nous assurent une vie saine, nous protègent contre des accidents imprévus. Le troisième âge peut donc être aussi heureux que l’enfance. Le déplacement devient plus commode, rapide et sécurisant. En train ou en avion, on peut aller mille fois plus loin qu’à pied. On peut désormais s’offrir des voyages d’un pays à un autre, parcourir la terre, acquérir de l’expérience de l’exotique et après tout élargir sa vision du monde.
Aujourd’hui, le problème de l’environnement attire beaucoup l’attention des hommes. Avec le développement de l’économie, notre environnement devient de plus en plus fragile et dangereux.
D’abord, c’est la pollution. On ne cesse pas de rejeter les déchets chimiques dans l’air et l’eau. en conséquence, de nombreux animaux sont morts et beaucoup de gens deviennent malade à cause de l’air pollué et l’eau toxique.
Ensuite, il y a une crise de l’énergie aujourd’hui. On en a un grand besoin mais les ressources ne sont pas infinies. Par exemple, les réserves mondiales de pétrole seraient épuisées dans moins de 150 ans. Il n’est pas facile de trouver d’autres sources qui puissent remplacer le pétrole et le charbon, deux sources fondamentales de nos jours.
On a seulement une Terre, si on la laisse se dégrader, la situation s’aggravera. Protéger l’environnement est une mission permanente parce qu’il y va de notre vie.
TFS4-2009
quartier, amoureux, vraiment, faire du mal, séjour, s’ennuyer, à table, souhaiter, tranquille, se tromper
La vie
La vie est un voyage, on y avance pas à pas. Et si chaque pas est merveilleux, si chaque pas est magique, la vie entière le sera aussi. V ous ne serez alors point de ceux qui arrivent au seuil de l’autre monde sans avoir vraiment vécu. Ne laissez pas votre vie en friche, mais faites qu’elle devienne une mélodie pour vous et pour autrui !
Puisque la vie est un séjour éphémère sur la terre, vivez sans tarder : sensations, passions, désirs, rencontres, amours... Ne négligez rien de tout cela. Un jour, vous découvrirez combien cela est grand et irremplaçable ! Chaque jour, apprenez quelque chose de nouveau sur vous-même et sur les autres. Chaque jour, essayez de voir le monde en rose et de faire grâce à ceux qui vous ont fait du mal.
Comme tout le monde le sait, la vie est parfois étrange avec son lot de surprises et d’imprévus. Alors, quand les moments difficiles viendront, ne vous e nnuyez pas. Reposez-vous dans un quartier tranquille, mais ne vous abandonnez pas. Surtout, ne vous trompez pas en vous laissant convaincre du contraire.
En fin de compte, je souhaite que chacun tienne à sa vie et réalise son rêve.
TFS4-2008
lettre, téléphone, carte, famille, partager, confiance, communication, solitude, sourire, cadeau
Remède à la solitude des jeunes
L’époque est révolue où l’on s’écrivait des lettres et des cartes de vœux à l’occasion d’une fête. On préfère aujourd’hui se téléphoner, s’envoyer des SMS. On dit que c’est pratique et qu’il faut vivre avec son temps.
Certes, avec les progrès prodigieux de la technologie, tout devient facile : un message ou un coup de téléphone, un e-mail... c’est à la fois rapide et commode. Mais cela ne veut pas dire qu’on peut se passer de la communication interpersonnelle. Aujourd’hui, pris d’engouement pour tous ces moyens de communication modernes, beaucoup de jeunes ne partagent plus leurs secrets avec leurs parents, n’ont plus confiance en leurs amis, mais se confient plutôt à des inconnus « connus » sur Internet. Donc, il est normal qu’ils sentent souvent la solitude.
Pas de remède ? Mais si. Pour commencer, écrivons à la plume une lettre affectueuse à nos parents et à nos amis. Et puis, profitons bien d’un petit moment, par exemple de leur anniversaire, pour leur offrir un cadeau que nous faisons par nous-même. Nous verrons leur visage s’épanouir en sourire, et nous nous rendrons bien compte que la solitude, enracinée depuis si longtemps dans notre cœur, sera remplacée par une énorme douceur.
TFS4-2007
se souvenir, excursion, autocar, métro, prendre, campagne, nature, se promener, pique-nique, guitare
Ma première excursion
Je me souviens souvent de ma première excursion que j’ai faite avec mon oncle,
laquelle est l’un de mes meilleurs souvenirs d’enfance.
C’était un beau matin du printemps. Mon oncle et moi, nous sommes partis de la maison pour faire un tour du lac. Nous n’avons pris ni autocar ni métro, mais nous y sommes allés à vélo, car nous préférions respirer l’air frais de la campagne et écouter les chants d’oiseaux. En chemin, mon oncle m’a raconté des histoires sur des animaux sauvages et les aventures de sa jeunesse. Elles me plaisaient beaucoup. Nous nous sommes promenés au bord du lac et nous avons bavardé avec les pêcheurs. À vrai dire, il chantait mal, mais j’aimais ses chansons et quand je voyais le paysage pittoresque devant nous, je me sentais heureuse. En fin d’après-midi, nous sommes rentrés chez nous avec des fleurs qu’un villageois nous avait permis de cueillir dans son jardin.
V oilà ma première excursion. Elle n’est pas extraordinaire, mais chaque fois que je m’en souviens, je me sens bien émue et je pense à mon enfance perdue.
Autres :
Je pense souvent à la troisième année au lycée, c'était une vie dure mais très belle. On menait une existence monotone: on se levait à 6 heures et demie, se livrait au travail à sept heures, restait à l'école jusqu'à 21 heures et se couchait à 23 heures, épuisé. Je travaillais sans désemparer et tentais toujours de finir tous les exercices qui me tombaient sous la main. De plus, je ne pouvais demander du secours à personne, y compris mes parents parce que je ne voulais pas les inquiéter. Quand j'échouais aux examens, je ne m'en prenais qu'à moi-même au lieu de trouver des excuses.
Outre les difficultés, heureusement, on avait de belles mémoires. Travailler avec mes chers camarades me soulageait beaucoup. Nous nous encouragions, nous nous aidions, et bien sûr, nous nous plaignions ensemble des défauts de ce système éducatif, tout le
temps!
Le dernier jour arrivant, le 9 juin 2009, les parents attendaient nerveusement notre sortie devant l'école ou à la maison. J'ai vu quelques-uns de mes camarades éclater en sanglots ou de rire, mais moi, j'étais tellement calme.
Depuis deux cent cinquante ans, l’humanité a connu un développement technologique fantastique, un développement tellement considérable que, pour ainsi dire, il dépasse celui de tous les siècles précédents.
La première révolut ion industrielle a annoncé le début d’une réforme de production systématique, libérant les hommes des travaux physiques/manuels épuisants et monotones, leur permettant de se lancer dans des domaines créatif et ambitieux. Donc on voit l’invention de fusée e t le lancement de vaisseaux spatiaux, ce à quoi les gens du passé ne pouvaient jamais penser.
Les chaînes de montage ont considérablement haussé la productivité et en même temps baissé le coût de production, la mise en service de différents moyens de transport a beaucoup facilité les échanges commerciaux. On en profite beaucoup car on achète ce qu’on veut n’importe où.
La technologie a aussi profondément modifié le mode de vie. D’abord, on jouit d’une espérance de vie plus longue qu’avant. Les médicaments et les vaccins nous assurent une vie saine, nous protègent contre des accidents imprévus. Le troisième âge peut donc être aussi heureux que l’enfance. Le déplacement devient plus commode, rapide et sécurisant. En train ou en avion, on peut aller mille fois plus loin qu’à pied. On peut désormais s’offrir des voyages d’un pays à un autre, parcourir la terre, acquérir de l’expérience de l’exotique et après tout élargir sa vision du monde.
Aujourd’hui, le problème de l’environnement attire beaucoup l’attention des hommes. Avec le développement de l’économie, notre environnement devient de plus en plus fragile et dangereux.
D’abord, c’est la pollution. On ne cesse pas de rejeter les déchets chimiques dans l’air et l’eau. en conséquence, de nombreux animaux sont morts et beaucoup de gens deviennent malade à cause de l’air pollué et l’eau toxique.
Ensuite, il y a une crise de l’énergie aujourd’hui. On en a un grand besoin mais les ressources ne sont pas infinies. Par exemple, les réserves mondiales de pétrole seraient épuisées dans moins de 150 ans. Il n’est pas facile de trouver d’autres sources qui puissent remplacer le pétrole et le charbon, deux sources fondamentales de nos jours.
On a seulement une Terre, si on la laisse se dégrader, la situation s’aggravera. Protéger l’environnement est une mission permanente parce qu’il y va de notre vie.